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Le corps notions, c’est les exhibitions du corps.
Son intelligibilité critique, son moulage d’empreinte sociale,
La courbure du son, de son sterno-cléido-mastoïdien,
De ses orgasmes. Un pacte de micronarrations,
De moteurs de recherches.
La réincarnation de nos principes, dans la gloire et misère,
Compassion et violence, proximité et distance,
Les rétroactions des écarts et différences.
Un tableau à x entrées.
Une négligence. Un outil.
Un prolongement lazer des doigts.
Mais le corps, le vrai, n’existe pas dans la représentation.
Car toute représentation n’est qu’une métaphore du corps.
Car toute représentation n’est qu’une métaphore de la vie.
Comment ne pas tenter de le lire ?
Comment ne pas chercher à le décrire ?
Pourrais-je un jour en voir toutes les côtes ?
Je pense que j’ai peur de la mort, et que mon corps aussi.
Pourtant, on lit souvent cette absence comme un repos.
Moi qui passe des nuits pleines de rêves, je ne sais pas si le rien
est intéressant.
Horror Vacui.
Remplir pour combler le vide, donner un sens.
J’assume et je remplis à mort.
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The body notions, that is the exhibitions of the body.
Its critical intelligibility, its molding of social footprint,
The curvature of the sound, of sternocleidomastoid sound,
Of its orgasms. A pact micronarrations.
Search engines.
Reincarnation of our principles, in glory and misery,
Compassion and violence, proximity and distance,
Rétroactions of deviation and differences.
An X array table.
A negligence. A tool.
An lazer extension of the fingers.
But the body, the true, does not exist in the representation.
For every representation is a metaphor of the body.
For every representation is a metaphor for life.
How not to attempt to read it?
How not to try to describe it?
Could I one day see all the sides?
I think I fear death, and my body does too.
Yet, we often read this absence as a rest.
I, who spent nights filled with dreams, I do not know if anything
is interesting.
Horror Vacui.
Fill to fill the void, make sense.
I assume and I stuff to death.
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